Comment bien jouer au golf ?

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Pour plusieurs millions de golfeurs partout dans le monde qui mettent leurs sacs dans le coffre de la voiture, prennent la route pour une trentaine de minutes en moyenne, arrivent sur le parking du golf, posent le sac sur le chariot, passent à l’accueil du golf, se dirigent vers le putting green ou le practice….le rituel est quasiment toujours le même à quelque chose prés !

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 L’objectif lui ne change pas : « mettre la balle dans le trou en le moins de coups possibles ».

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1-   Imprégnez-vous des éléments naturels

C’est aussi évasion en pleine nature et de tous les éléments qui la compose avec de beaux paysages, d’arbres parfois centenaires, d’arbustes nouvellement planté, de fairways scintillants fraichement tondus, de la senteur du parterre de fleurs de saison, du vent et d’où vient-il, de la rosée matinale, du chant de la faune, etc…laissez tous ces éléments vous accompagner tout au long de la journée ; elle sera nécessairement plus belle !

2-   Comprendre le comment et pourquoi les éléments déterminants améliorent votre façon de jouer

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1- Prenez délicatement votre club,

2- Percevez bien le club dans l’extrémité de vos doigts,

3- Relâcher vos poignets et vos bras pour bien ressentir le poids de la tête de club,  

4- Soyez à l’écoute du son de la balle à l’impact,

5- Regardez son vol, sa hauteur, sa courbe etc…

6- Recherchez  votre équilibre dans le swing et principalement au finish,

7- Trouvez le bon rythme de votre swing et associez le à votre rythme physique - celui de votre marche-, vous permettra de maintenir votre effort tout au long du parcours, en restant frais et lucide pour jouer chaque coup.

8- N’oubliez pas de vous hydrater régulièrement - la déshydratation réduit les performances motrices, les fonctions cognitives et la vivacité d’esprit : « quand on a soif, il est trop tard !

3-   Comment les connexions instinctives simulent vos sensations, vos réflexions et votre manière de swinguer

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Tous les joueurs savent que l'apprentissage au practice est une chose mais que la mise en application sur le parcours en est une autre. Garder un état d'esprit calme avant, pendant et après chaque coup de garder sa confiance et sa lucidité du début à la fin du parcours sont aussi déterminants pour réaliser un bon score que le niveau même du joueur.

Peu importe le niveau, un manque de concentration, une perte d'attention, ou une pensée négative sur un mauvais coup peut mener à la traversée du désert...un grand moment de solitude! Santé mentale et santé physique vont de pair, c'est tellement vrai pour le golf!

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Il y a bien entendu quelques contre exemples historiques: la victoire de Tiger Woods à l'US Open 2008 alors que son médecin lui avait recommandé de ne pas jouer le tournoi à cause de son genoux et celle de Padraig Harrington, la même année, lorsque qu'il réussi à gagner The Open pour la 2ème année consécutive avec un poignet en vrac!

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4-   Prendre la bonne décision au bon moment et au bon endroit

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Devenir et/ou être bon golfeur n'est pas seulement d'avoir un bon swing efficace et fluide et de bien contacter la balle, c'est aussi savoir quel coup choisir, quel club prendre par rapport à une situation de jeu donnée; c'est savoir prendre la bonne décision au bon moment et au bon endroit.

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Tiens oui au bon endroit!

cela implique nécessairement d'avoir évaluer la difficulté du trou (longueur, étroitesse, dans quel sens tourne le trou, d'avoir identifié les pièges et les obstacles, dans quelle direction souffle le vent, où se trouve le drapeau, quel type de lie etc...

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Maintenant que tous ces facteurs sont identifiés, dans quel état d'esprit est-on pour jouer le trou? sécurité vs. prise de risques?

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De manière générale, l'architecte du parcours trouve le bon équilibre entre trois catégories de trous en terme de difficulté: 6 trous faciles, 6 trous moyens et 6 trous difficiles. Il est facile de les retrouver sur la carte de score: sur la ligne Index/HCP (coups rendus): de 13 à 18 seront les trous faciles, de 7 à 12, les moyens et de 1 à 6 les plus durs. Ils sont répartis de façon aléatoire mais homogène entre l'aller et le retour.

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‍Réfléchir à la façon de jouer le trou, avec ses moyens, ses peurs, ses craintes, ses atouts, ses sensations, c’est définir une stratégie.

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3 paramètres entrent en jeu dans notre prise de décision  (l’Institut du cerveau):
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• la prudence vs. la prise de risque,
• la patience vs. l’impatience,
• l'engagement vs. la retenue

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Prudence sur la mise en jeu et avoir un 2ème coup avec un attaque de green latéral ou prise de risque sur la mise en jeu pour aller chercher un fairway étroit pour avoir une attaque de green avec plus de profondeur pour une sélection de coup/club plus grande ?!!

Patience pour que les éléments externes soient plus ou moins apprivoisés, que l'on rentre bien dans notre partie, ou pas!

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Avec l'exemple ci-dessus, nous pouvons dire que la cohérence d’une stratégie est une équation à trois variables  qui nécessite :

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1 – la connaissance de ses compétences/capacités personnelles
2 – l’appréciation  des difficultés et des subtilités d’un trou/parcours
3 – l'harmonisation de nos compétences avec la réalité du trou/parcours à jouer.

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Notre corps et notre cerveau sont sont des machines merveilleuses et quasi parfaites.  Entretenons et prenons soin de notre corps et laissons  travailler notre cerveau sans l’encombrer de notions fausses donc inutiles et contre productives.

Le présent est le seul endroit où nous pouvons agir. Il suffit de nous consacrer entièrement à ce que nous faisons, à l’exclusion de ce que nous avons fait ou allons faire.

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